Un ruban rose en soutien aux femmes atteintes du cancer du sein.
Période importante, incertaine, temps d’arrêt pour des traitements et une réparation.
La sophrologie a toute sa place dans ce parcours, pour un accompagnement personnalisé face à cette maladie.
- Pourquoi ?
La méthode a un but thérapeutique. Elle intervient d’abord sur le mental pour se libérer des pensées négatives et du stress lié à cette pathologie. Par la projection d’images positives, la sophrologie permet de reposer son esprit et de vivre des moments de bien-être. De plus, elle offre la possibilité d’être détendue le jour J de l’examen médical ou de l’intervention.
Le travail en sophrologie s’axe également, sur son corps, sur son rapport à soi : une observation de son corps avec bienveillance et indulgence, corps en mouvement et en réparation. Ce travail permet une acceptation des changements inhérents aux traitements et interventions chirurgicales.
La sophrologie renforce l’action des traitements et le combat mené lors de cette période.
L’accompagnement s’effectue avec un sophrologue, qui propose une écoute attentive, en confiance, incluant peut-être le partage avec d’autres personnes et l’expression certaine de vos ressentis.
- Comment ?
C’est par l’intermédiaire d’exercices de respiration en conscience et de relâchement musculaire, puis de visualisations positives, que le travail s’opère. Ces exercices se pratiquent journalièrement, de manière à s’occuper de soi tous les jours. Ils sont tous adaptables et s’effectuent debout, assis ou allongé.
L’accompagnement est individuel ou en collectif, avec un sophrologue en milieu hospitalier ou en ville, en présentiel ou en distanciel…
Quelque soit la formule choisie, elle est la bonne car l’essentiel est de prendre du temps pour soi, rien que pour soi, afin de se réparer surement.
La méthode vient en support et est adaptée à l’oncologie dans sa globalité.
Ne restez pas seule face à la maladie, pensez sophrologie.
